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Durant son cycle de vie, toute entreprise peut connaitre une période difficile qui se traduit par un problème de trésorerie : une brutale chute de la demande, une baisse de l’efficacité industrielle, un marché qui se ferme, une hausse soudaine des matières premières…
Ces situations risquent de se multiplier dans le cadre du contexte sanitaire et économique actuel, et les reports de charges ne résoudront pas les problèmes sur le fond.
Avec ses 30 ans d’expérience, MCG Managers obverse que peu d’entreprise ont :
Les trois réflexes vitaux qui conditionnent le redressement de l’entreprise :
Les trois acteurs essentiels pour faire face à la crise :
Un cas très concret
Le groupe concerné* (fabrication de coffrage en béton, 70 M€ de CA) a dû faire face à la dégradation de sa situation financière à la suite d’une lente et inexorable détérioration de ses performances industrielles et commerciales.
Après un audit financier mettant en avant les risques à moyen terme (6 mois) d’une cessation des paiements, le Dirigeant décide de demander la nomination d’un mandataire AD’HOC pour entamer une procédure amiable et confidentielle dans le but de sauver l’entreprise.
Ce dernier suggère fortement de faire réaliser un diagnostic opérationnel pour objectiver la situation réelle de l’entreprise et définir les mesures à prendre dans le cadre d’un plan d’actions.
L’intervention de MCG Managers
Le diagnostic opérationnel a été confié à MCG Managers pour son expertise et sa capacité à mettre à l’ouvrage dans des temps très courts, des experts opérationnels.
« Engager ce premier travail consiste à gérer le niveau de criticité de la situation dans un temps très court, explique Pierre-Yves FREMINET, Directeur Industrie, Services et Distribution de MCG Managers. Parallèlement, l’entreprise s’adjoint l’expertise des mandataires AD’HOC et d’un ou plusieurs experts chevronnés qui viennent poser un regard externe sur sa stratégie, son positionnement ses produits et ses marchés. »
Leur diagnostic opérationnel à 360° examine service par service les points positifs, négatifs et à améliorer, et permet à l’entreprise de se concentrer sur les fondamentaux qui peuvent générer rapidement de la trésorerie. « Plan d’action :
Les facteurs clés de succès : travailler en équipe
Menée en coordination avec l’action du mandataire ad'hoc, cette action va donner de la crédibilité à la démarche de ce dernier auprès des créanciers.
« Quand on montre qu’on tient le cap et qu’on est capable d’expliquer et de trouver des solutions lorsqu’il y a des difficultés - et il y en a toujours – on apporte de la crédibilité et on entretient la confiance.
Avec MCG et les dirigeants de l’entreprise, nous avons fait une oeuvre commune, solide et imaginative. Nous avons cherché ensemble des solutions et à plusieurs on réfléchit mieux », précise Eric Etienne-Martin, administrateur judiciaire chez AJUP.
Les résultats : une belle histoire
« Nous sommes heureux d’avoir ainsi pu reconfigurer un ensemble de partenaires financiers qui sont aujourd’hui aux côtés de l’entreprise pour l’accompagner dans son développement. Elle est désormais capable de donner une bonne visibilité aux partenaires et la communication est maîtrisée », indique Laurence Rival, Responsable du Pôle Prévention chez AJUP.
Pour le dirigeant de l’entreprise, « les mesures de restructuration préconisées par MCG et mises en place au sein de notre entreprise nous permettent désormais de nous appuyer sur des ressources et des bases fiables afin de continuer à nous développer. Je considère l’accompagnement par MCG non comme un coût mais comme un investissement dont les bénéfices ne se sont pas fait attendre. » Ainsi, MCG Managers a réaffirmé son engagement : pérenniser les entreprises.
Anticiper pour réussir
« Dans la période que nous traversons, de nombreux dirigeants sont dans l’incertitude et attendent une reprise de l’activité, constate Vincent Moncorgé, Directeur Général de MCG Opportunités. Dans une telle situation, anticiper leur donne plus de chance de réussir le retournement de leur entreprise. Le problème est pris à temps, avant que les relations avec les fournisseurs, les banques ou les clients ne se grippent. » Les chiffres lui donnent raison puisque 70 % des procédures amiables débouchent sur des résultats positifs, alors que seuls 25 % des redressements judiciaires débouchent sur un plan de continuation d’activité, qui lui-même échoue avant trois ans dans la moitié des cas.
* la procédure étant confidentielle, nous respecterons l’anonymat du dirigeant.