Pour ses clients français qui se déploient à l’étranger ou pour des entreprises internationales qui s’implantent en France, Axelyo réalise les recrutements stratégiques de profils internationaux. Savoir identifier et aborder un candidat en poste à l’autre bout de la planète, et pour y parvenir, activer ses réseaux dans les différentes zones géographiques, utiliser les outils adéquats nécessitent une expertise, développée par Manika Mey, cofondatrice d’Axelyo.

Etre capable de mener à bien une mission de recrutement à l’international, de bout en bout est un réel challenge. Manika Mey manie l’exercice depuis près de 25 ans, en anglais, en allemand, en espagnol, sur des postes de cadres dirigeants, directeurs de filiale, patrons de business unit ou de sites de production, de responsables export, d’Amérique en Asie… « Nous appliquons les mêmes process que pour un recrutement en France. La différence tient en notre savoir-faire pour approcher les talents à l’étranger, détaille-t-elle. Il faut avant tout bien comprendre la stratégie de l’entreprise dans la zone géographique concernée afin de définir le profil du candidat qui l’incarnera au mieux. Notre connaissance des marchés de l’emploi, des différences culturelles, nos liens privilégiés avec des réseaux que nous sommes à même de mobiliser partout font d’Axelyo un partenaire alliant fiabilité et proximité ».

Alors que les entreprises cherchent des relais de croissance, l’international est devenu un enjeu stratégique pour beaucoup d’entre elles.

Le recrutement du bon profil, qu’il soit local ou pas mais connaissant bien son marché, est un atout pour une entreprise française. S’adjoindre les compétences d’experts pour faire aboutir un tel projet débouchera sur ces points de croissance supplémentaires escomptés par une présence renforcée à l’international.

Identifier et susciter l’intérêt d’un candidat, le plus souvent déjà en poste, reste la base du recrutement, en France comme à l’international. L’adaptabilité et l’expérience du cabinet sont alors essentielles pour approcher ces professionnels à l’étranger. « Il faut jongler avec les décalages horaires pour mener les entretiens en visioconférence, de la côte ouest des Etats-Unis à l’Asie. » La maîtrise des langues par un recruteur parait une évidence. Mais « au-delà, il s’agit bien d’être capable, pour pouvoir évaluer et conseiller, de saisir les nuances du discours, avoir les mots pour susciter l’intérêt, jusqu’à se projeter dans un autre poste, dans un autre pays », précise Manika Mey qui s’appuie sur un parcours personnel et professionnel multiculturel et international mis aux services de ses clients (industriels des procédés, agroalimentaire, sport…).